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Une rentrée historique à l’Université de Hearst!
Tracer son propre chemin
La rentrée bat son plein à l’Université de Hearst. De retour d’un congé parental depuis un peu plus d’un an et demi, je réalise tous les changements que l’Université de Hearst a vue en si peu de temps. Nous écrivons de nouvelles pages d’histoires en accueillant le plus d’étudiantes et d’étudiants chez nous pour cette rentrée d’automne 2021.
Tout d’abord, je reviens dans une institution qui est en voie de devenir entièrement automne après 70 ans à desservir la région. Le projet de loi, déposé par le gouvernement de l’Ontario, permettra à l’Université de Hearst de voler de ses propres ailes. Quelle joie de nous permettre de faire nos propres choix et nos propres décisions. La flexibilité nous permettra d’agrandir notre communauté universitaire et de desservir les communautés du Nord-Ouest et de la francophonie mondiale de façon indépendante.
Ensuite, nos chiffres d’inscription pour le semestre d’automne indiquent d’ores et déjà que nous fracassons notre record. Voilà un signe de plus que l’Université de Hearst a le vent dans les voiles! D’ailleurs, pour la première fois nous nous voyons dans l’obligation de mettre un terme aux nouvelles admissions pour tenir compte de notre capacité d’accueil actuelle. Ce n’est pourtant que partie remise puisque nous prévoyons déjà offrir l’admission à une nouvelle cohorte dès janvier prochain.
Nous avons aussi fait durant l’été des investissements importants sur nos trois campus pour appuyer l’enseignement et l’apprentissage via des technologies nouvelles. Il est dorénavant possible d’offrir des cours en comodalité ou en bimodalité, c’est-à-dire en permettant à notre population étudiante une expérience de cours soit en présentiel, soit en ligne, pour tout un groupe en même temps, en limitant le plus possible le sentiment d’isolement social, tout en respectant les consignes sanitaires requises en temps de pandémie. La technologie est une partie de la solution, mais l’appui à notre équipe professorale par l’intermédiaire de l’ajout d’un technopédagogue vient compléter nos efforts en ce sens. Résultat en bout de ligne : plus de flexibilité pour accommoder les besoins distincts et changeants de toute notre communauté universitaire.
Je suis très heureuse de revenir dans ce vent de fraîcheur et je suis excitée de pouvoir discuter avec de futurs étudiantes et étudiants que nous pourrons accueillir dès l’an prochain.
Pave our own path
The new semester is in full swing at Université de Hearst. After a little over a year and a half of parental leave, I am experiencing all of the changes that Université de Hearst has seen in the same short time. We are writing new pages in history and welcoming the most students ever during this fall semester of 2021.
First of all, I am coming back to an institution that is on its way to becoming fully autonomous after 70 years of serving the region. A new bill, introduced by the Ontario government, will allow the Université de Hearst to pave its own path. It will be a joy to make our own choices and decisions. The flexibility will allow us to expand our university community and to independently serve the communities of the Northwest of Ontario and of the global Francophonie.
Further, our enrollment figures for the fall semester show that we are already shattering our record. This is one more sign that the Université de Hearst has the wind in its sails! For the first time, we see ourselves having to cap our new admissions and take into account our current capacity to receive new students. That said, this is only a postponement as we are already preparing to offer admission to a new cohort starting next January.
We have also made significant investments during the summer in our three campuses to support teaching and learning through new technologies. It is now possible to offer courses in co-modality or bimodality, that is to say by allowing our student population an experience that is either face-to-face or online, for a whole group at the same time, limiting the feeling of social isolation, while respecting health guidelines required during a pandemic. Technology is a part of the solution, but support for our teaching team through the addition of a techno-pedagogy complements our efforts in this regard. The bottom line: more flexibility to accommodate the distinct needs and changes of all our university community.
I am very happy to come back to this breath of fresh air and I am excited to be able to talk with prospective students that we may welcome next year.